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19 juin 2012 2 19 /06 /juin /2012 00:01

Retour improbable, retour inattendu voire plus attendu du tout.

"Mais que faisait donc ce bougre d'imbécile pendant qu'on se languissait d'attendre la lueur d'une pensée incongrue, d'un texte bancal ou encore d'un cours d'histoire aussi véridique que la carrière de joueuse de curling de chantal goya ?"

 

Et vous n'auriez pas tort de vous plaindre... Pourtant j'ai profité de cette pause pour ... ne rien faire.

Rien de rien.

Enfin, attention, rien de rien...

Rien de plus qu'avant devrais-je dire (je sens déjà les regards réprobateurs de mes collègues !)

 

L'ennui m'a guetté, le boulot m'a occupé, et j'ai pu me sevrer petit à petit de l'overdose bloguesque que fut mon voyage de noces.

 

C'est frustrant parce que, quand je dis que je n'ai rien fait, je jalouse en fait celui qui oserait vraiment ne rien faire, laisser un matin son emploi du temps trop chargé et laisser le hasard le guider

 

Ce matin pas de costard

Pas de montre, ou de clé,

Juste ma gueule à moi, peinard

C'est pas le jour pour travailler

 

Je sors le pif par la fenêtre

Entre deux tartines grillées

C'est décidé, je les envoie paître

Aujourd'hui c'est Liberté !

 

Il trouverons bien plus con que moi

Pour ce boulot en dilettante

Aujourd'hui je m'occupe de moi

Je vais chercher une vie moins chiante

 

Le vent s'engouffre dans ma veste

Et chasse les cheveux de mon front

Le laissant au spectacle céleste,

Le soleil dardant ses rayons

 

Aucune destination précise

Je divague au fil de l'eau

J'erre de rue en rue et devise

Avec coiffeurs et clodos

 

Je découvre une vie légère

J'apprends le monde à leur contact

Je souris sous les réverbères

Et redécouvre le manque de tact

 

Comment suis-je resté si longtemps

Le cul posé sur un fauteuil

Aussi loin du commun des vivants,

Ceux qui m'inspire face à ma feuille

 

Une journée comme ça, hors du temps,

Boulot perdu, des heures de gagnées

J'ai p'têt moins à m'mettre sous la dent

Mais je suis libre de penser

 

 

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9 mars 2012 5 09 /03 /mars /2012 00:01

... Me. Oh Darling, darling staaaaaaand by me, oooohhhhh staaaaand.......

 

*raclement de gorge*

Pardon.

 

Le moment est venu.

Je savais que ça arriverait, mais ça fait bizarre quand même.

Ce blog a été ouvert quelque jour à peine après le mariage de son auteur et ce forcément, après le mariage il y a le voyage de noces.

On peut pas y couper.

 

Alors, comme il serait difficle de décrocher violemment, on va essayer de blogguer encore un peu. Sur un autre mode, moins aigri, moins historique aussi, mais plus aventurier avec :

 

 

Les Mariés en Thailande

 

 

Le Blog vit depuis quelques jours, le nez dans les préparatifs.

Je vous le conseille, déjà parce que j'y participe de moitié forcément, et aussi parce qu'il devrait y avoir quelques jolies photos (enfin, plus une fois en Thailande que depuis notre salon...) et il y aura surtout un couple qui vous nargue depuis l'autre côté de la planète (na !).

 

 

A dans 3 semaines !

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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 00:01

Il y a quelque temps, circulait un article sur un lieu de recueillement. Probablement lié à un quelconque gourou en soif de fatigués de la vie pour engranger quelques deniers.

 

Mon aigreur se devait de s'exprimer, et ce avec un minimum de ponctuation.

Prenez une grande inspiration, c'est parti :

 

On devrait faire une retraite spirituelle tous ensemble pour renouer avec notre soi intérieur. Que l'on surpasse nos addictions et notre agressivité.

Retrouver un calme et une stabilité intérieure.

Fini, le cul et la bouffe à outrance. Du respect pour le monde extérieur et les gens que l'on côtoie.

Allons nous ressourcer dans ce havre de paix pour recharger les batteries et revenir encore plus motivés à faire les cons et de toute façon reprendre les habitudes et les manies qui nous pourrissent la vie et celle de notre entourage à longueur de ces journées qui n'existent que pour nous stresser et faire semblant de vivre en progressant depuis son lit jusqu'au bureau et du bureau jusqu'à chez soi afin de s'abrutir à la lumière d'une lucarne qui a toujours tout fait pour l'abrutissement des foules et l'enrichissement des riches tout en refusant d'instruire les téléspectateurs, puisque c'est de cela qu'il s'agit, et en fustigeant les inégalités qu'elle ne fait que représenter en nous montrant pêle-mêle des images d'un monde extérieur transformé en spectacle constant et des émission abêtissantes sur des sujets aussi variés que "c'était mieux avant" et "attention la racaille est là" avec des acteurs de la vie quotidienne qui confonde leurs rôles avec les séries qu'il regardent depuis qu'ils ont trouvé mieux que de torturer l'ourson de la petite sœur pendant que papa s'occupe de cette dernière en des termes et des actions que la morale réprouve et que la société oublie lorsque pour des enfants qui mentent dans un procès géant, on oublie qu'ils ont été maltraités pour plaindre des gens tout aussi innocents séquestrés par l'Etat sans demande de rançon auprès des familles pour la simple et bonne raison que cela fait du bien à l'ego d'avoir coincé 20 personnes s'étant acharnés sur 3 gamins qui ne savent plus quoi dire pour faire plaisir au juge et aux enquêteurs alors que dans le même temps on m'accuse d'être vulgaire, en comparaison de cette société que je suis loin d'être le seul à vomir (Attention la chasse aux Anars est ouverte) et qui nous montre chaque jour que la vie est bien la première Maladie Sexuellement Transmissible et qu'à subir toujours les agressions généralisés entre des usagers des transports en commun, des petits chefs pisse-froid, certains collègues hautains et pédants ainsi que les vendeurs qui se disent au service du client ; du moment qu'il achète quelque chose et se barre au plus vite ; la famille toujours aussi prompte à vous finir les nerfs et la santé pendant des repas à rallonge où les sujets varient entre la calvitie de tonton, les frasques de la dernière pouf à la mode et les varices de mamie "que tu devrais aller voir plus souvent en Normandie dans cette maison de retraite qui nous a coûté les yeux de la tête" afin qu'elle puisse crever loin des yeux malade du cœur à jouer au scrabble en attendant la mort ou à défaut la quinzième rediffusion des épisodes de Derrick tout en gobant son Flamby, ultime cadeau de la vie à ceux qui savent par expérience ce qui échappent aux abrutis qui s'entassent dans les RER pour avoir 15 et non pas 17 minutes de retard au boulot et qui végètent tout en « transpirance » au choix, le cul sur les marches, la tête contre la vitre ou simplement debout entre deux attachés-case remplis d'un extrait du confort qui nous tient tant à cœur depuis que le micro-ondes nous est arrivé sur le coin de la gueule nous permettant de bouffer à longueur d'année des aliments sans saveur ET sans apports nutritifs, magnifique évolution des mœurs qui repoussent les confitures à mamie et les oeufs fraîchement pondus du matin à l'état de fossiles bons pour des musées (l'image hein, pas la mamie) qui n'ont de visiteurs que ceux qui cherchent à découvrir les lieux du tournage du Da Vinci Code ou qui profitent des journées du patrimoine pour avoir un endroit frais ou faire une pose pendant le shopping rue de Rivoli où les vendeurs (voir plus haut) se lèchent les babines en se frottant les mains tant la saison des moumoutes en sky s'enchaîne parfaitement derrière celle des bikinis quand une météo à la mord-moi-le-nœud s'en mêle et nous permets de découvrir les joies du bronzage et des moufles dans la même semaine, chose qui nous permet ainsi de tester toute la garde-robe en l'espace de 5 jours et qui contribue à la montée des eaux et des hormones des pingouins (allez savoir pourquoi) tandis qu'un accord sur la limitation de nos actions sur ce fait est accepté par tous à l'exception des 2 recordmen du réchauffement, j'ai nommé la chine qui se réveille et les USA qui sont endormis sur leurs lauriers depuis qu'ils ont posés leurs rangers sur des plages de Normandie qui les en remercient encore mais qui apprécieraient ne plus subir les outrages des bateaux amenant l'or noir au pays de l'oncle Sam et en pêtant leur suif immonde sur des kilomètres de plages se transformant en tablettes de chocolat que les gens attendent de voir ramasser pour pouvoir se huiler sur des plages de nouveau polluées mais de leur présence qui gâche un poil le panorama et ne saurait se faire discrète du fait des droits du vacancier qu priment sur les droits de la nature qui n'avait qu'à pas être là, "On va quand même pas se faire chier à faire attention pendant nos vacances alors qu'on nous fait déjà chier avec le tri sélectif à Paris".

 

Voilà

 

 

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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 00:01

Bonjour chers amis,

 

Aujourd'hui, un cours un peu particulier d'histoire de la Géographie (oui-oui) avec l'Origine du nom des pays côtoyant l'Everest.

Ouvrez bien vos esgourdes et soyez prêts à briller lors de vos soirées mondaines avec ces anecdotes :

 

Ces noms datent de la création du ski, ou plutôt de son arrivée sur le sol asiatique et les pentes himalayennes. Les européens, peu habitués à ses froids des grandes altitudes virent leurs poils geler (quand ce n'était pas autre chose) et leurs poumons siffler sous l'effet de l'air glacial entrant dans leur cage thoracique.

Il suivirent donc leurs sherpas ; nom désignant les guides, qui n'en avaient pas de nom, et répondirent quand on leur demanda leur nom "Chais pas", barbarisme aggravé par leur fort accent padchénou ; jusqu'en bas de la "station".

 

Quitte à marquer l'histoire du ski, autant le faire un grand coup, ils avaient donc choisi l'Everest. Au pied du géant, cette phrase restera dans l'Histoire :

"Waouh-ssssss, faut monter tout là-haut-sssssssssss !" Dirent-ils, les yeux grands ouverts et les poumons sifflant.

Les sherpas, qui compte dans leur rang autant de linguistes que de danseuses du ventre, crûrent qu'il s'agissait de l'appellation que les occidentaux donnaient alors au lieu.

 

La montée fut longue et dure comme........le service militaire en Allemagne (encore une chose de longue et dure que les femmes n'ont pas. Remarquez, nous non plus maintenant !). Enfin arrivés aux Arcs 6500, ils purent laisser leur Break pour prendre le tire-fesses au cul des yaks -- bah oui, pas d'électricité à cette hauteur-là parce que les câbles pètent. Remarquez les Yaks aussi -- tire-fesses qui les emmena tout en-haut de la station, là où les congères sont grosses comme des chalets.

Il faut savoir qu'à cette altitude-là, l'humidité interne du nez, gèle et des congères se forment DANS les narines. S'ajoute à ça l'engourdissement généralisé du corps et donc la difficulté de se déplacer ou d'articuler correctement.

Ainsi, quand enfin arrivé en haut de la piste le premier va pour s'élancer, il clame un fier : "Annez, t'y bais !!!" (ah oui, très-très dure la prononciation).

 

 

 

 

Merci de votre attention, et à bientôt avec un retour à notre programme classique sur l'histoire des expressions françaises.  

 

Professeur Z


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6 mars 2012 2 06 /03 /mars /2012 00:01

La Peel se maquille,

S'agite, elle est fébrile

Elle se rend au palace

Histoire d'une dernière passe

 

Sur ses talons aiguilles

Elle se la joue facile

Mais plus les années passent

Plus elle s'efface

 

Elle rêve d'une vie d'famille

D'une vie moins difficile

Avec tout ce qu'elle amasse

Il s'peut qu'ça passe

 

Elle observe la ville

Aux fenêtres qui défilent

Elle cherche encore sa place

Dans cette vitrine en plexiglas

 

Mais est-elle vraiment utile ?

Autant que l'beurre à couper l'fil ?

Son dernier client lui fait face

Un frisson dans son dos passe

 

Elle ne reverra plus la ville

Du rasoir, sa vie tombe du fil

L'amour à la mort a fait place

Ses yeux se ferment, et Peel s'efface

 

 

 

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5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 00:01

...

 

 

En même temps difficile d’évoluer, de s’accomplir personnellement si c’est en se comparant à autrui. Pour un accomplissement personnel, il semble nécessaire de passer par trois étapes :

-Se supporter (comprenez que c’est un minimum)

-S’aimer (en commençant par ne pas ou ne plus se détester)

-Se rendre fier de soi et ainsi atteindre un stade ou l’autosuffisance (il n’y a pas d’autre mot moins péjoratif) suffit à être heureux ou du moins à remplir sa vie.

 

Et c’est là que la conscience peut nous faire mal. Vous savez, cette petite voix (qui ressemble curieusement à celle des donneurs de leçon de notre enfance !) qui ne vous dit pas quoi faire ou quoi penser mais ce qu’il NE faut PAS faire et NE faut PAS penser.

D’accord, je veux bien ne pas faire des choses (ce qui soit dit en passant reste la plupart du temps plus facile que de le faire), ne pas penser des choses (à ne pas confondre avec ne rien penser, bien plus difficile, essayez pour voir !), mais pour quoi ? Ou plutôt pour qui ?

Car à choisir, si gagner de l’argent me rend si fier de moi, quel est le problème à marcher sur les autres, persifler et cancaner sur les collègues, tout cela pour me faire mousser, grimper les échelons et gonfler la paye ?

Il y a bien deux choses à différencier : les limites légales fixées par la société et les limites morales fixées par soi-même ; le but étant de s’épanouir au mieux en respectant les unes et les autres…ou non.

Attention, je ne cautionne pas les agissements hors-la-loi (quoique mon avis sur la question importe peu. Honnêtement que voulez-vous que je fasse avec mon blabla pour influencer les délinquants ?), simplement je reconnais qu’au niveau personnel (et uniquement personnel) l’autosuffisance puisse passer par l’ignorance (volontaire) des limites sociétales.

 

 

 

...

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2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 00:01

Bonjour chers amis,

 

Aujourd'hui, petit cours d'histoire et de langue avec la découverte de l'origine d'une expression commune.

Vous pouvez penser que son sens est évident mais il n'en est rien, jugez plutôt :

 

-Perdre la tête :

 

Au début du moyen-âge, la folie n'était pas connue, ou du moins pas reconnue. Ainsi prenait-on encore Néron pour un joyeux drille voulant fêter la Saint-Jean avant l'heure avec des chrêtiens crucifiés en guise de lampions.

C'est à cette époque que le Prêtre Martin Drelah fut nommé Evèque de Paris en remplacement de l'Abbé Frolot qui avait bêtement glissé en se promenant sur son balcon de Notre-Dame. L'evêque fraichement nommé avait de curieuses manières lors de la messe dominicale du Vendredi auxquelles personne ne faisait finalement attention pensant qu'il s'agissait d'une manière moderne d'exercer, puisque la folie n'était pas encore connue je vous le rappelle puisque personne ne suit quand je parle et que même si vous arrêtez de lire je continuerais de parler parce que je suis là pour ça et que je ne me laisserai pas dicter ma conduite par des........bref.

Le pont de non-retour fut atteint lorsque le prêtre s'attaqua à la statue de la sainte vierge en lui montant sur les genoux lors d'un sermont pour porter le sein gauche de l'icone à sa bouche. La foule s'écria : "Mais, le Père Drelah tête!!! "

et voilà comment l'histoire passionnante de la folie à travers les âges commença.

 

 

 

 

 

Merci de votre attention, et à bientôt avec, dans le cadre de notre jumelage "Littérature & Géographie", une étude des hautes cîmes de l'Asie avec l'article Everest un p’tit peu, j’vous l’mets quand même ?.

 

Professeur Z


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1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 00:01

 

Tomberai-je comme une feuille

Morte avant d'être lasse

Un tas de mes sœurs crasses

Comme unique recueil

 

Tomberai-je comme la neige,

Flocons de satin blanc

Avec comme seul amant

Le vent qui me soulève, m'allège

 

Tomberai-je dans le vide

Simple pierre sans destin

Rendu à son bête ravin

D'une pichenette stupide

 

Tomberai-je en désuétude

Ridicule has-been de rien

Sans avenir bien lointain

Sans espoir de mansuétude

 

Tomberai-je sous les balles

D'une guerrière Nation

Mon pays comme Vision

Retour aux sources bestiales

 

...

 

Une mort moins glorieuse

M'était bien destinée

Et un bête escalier

Y mit une fin honteuse

 

Mais enfin, est-ce ma faute

Si pour tout sacrement

Je n'eus qu'un pied glissant

Sur la marche la plus haute ?

 

 

 

 

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29 février 2012 3 29 /02 /février /2012 00:01

 

A la recherche de son identité perdue.

Ça vaut bien pas mal de titre de bouquins sur le développement personnel et la plénitude de l’âme (rien que l’association de la psychologie et d’une notion emplie de Croyance m’amuse !).

Dites-moi monsieur et madame tout le monde (ne me dites pas que je ne suis lu que par l’élite, je ne vous crois pas !), vous imaginez qu’un gugusse avec un diplôme en comportementalisme peut plus pour vous en un seul bouquin que vous-même ?

Rassurez-moi, vous vous connaissez mieux que lui, non ? C’est ce que je pensais.

Dussé-je me mettre les psychologues, psychiatres et autres psychanalystes à dos que je vous donnerais le fond de ma pensée (qui n’est peut-être pas très loin de la surface mais j’assume) : Aucune analyse extérieure ne vaudra celle que l’on peut faire de soi-même pour peu qu’on se penche un brin sur son propre cas !

Et je ne parle pas que de ceux qui se sentent mal, tous nous devons nous pencher sur nous-même, analyser nos craintes et nos blocages, ne serait-ce que pour évoluer, ce qui me semble être la nature de l’homme. Sinon, à quoi sert une conscience si ce n’est à évoluer, apprendre de ce qu’on a vu, utiliser son expérience des choses ?

Certes, évoluer. En bien ou en mal, vers le haut, le bas, évoluer vers plus de sagesse ou de pouvoir ou plus de relations, améliorer ses qualités, aggraver ses défauts, mais tout ça pour quoi ?

Pour se sentir mieux ? Pourquoi pas. Mieux que maintenant, mieux qu’hier, ou alors mieux que le voisin ou que le collègue d’à côté.

 

 

 

...

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28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 00:01

Bonjour chers amis,

 

Aujourd'hui, petit cours d'histoire et de langue avec la découverte de l'origine d'une expression commune.

Vous pouvez penser que son sens est évident mais il n'en est rien, jugez plutôt :

 

-Partir sur les chapeaux de roues :

 

Expression préhistorique. Et oui, aussi surprenant que ce la puisse paraître , l'expression fut inventée bien avant la voiture. Il est évident qu'avant la découverte de la charrette (aussi appelé Touïnggho), les hommes se déplaçaient à dos d'animal, le plus évident étant le cheval.

Pourtant, il existait bien d'autres animaux susceptibles de transporter les personnes en commençant par les félins. Il en était un en particulier avec un pelage d'une teinte totalement désuète aujourd'hui appelé Droux. Entre le rouge brillant et l'Orange pâle, cette teinte révélait les félins les plus rapides.

Ainsi naquît cette fameuse expression, comme dans l'exemple suivant : "Graouargouna Mirapourana !" Ou "Et bah, il est partir sur les Chats à peau droux".

Le droux devenant démodé, on adapta l'expression à la pointe de la technologie de l'époque : La roue et le Haut de Forme.

 

 

 

 

 

Merci de votre attention, et à bientôt avec une expression moyenâgeuse et cléricale, Perdre la tête.

 

Professeur Z


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