A la recherche de son identité perdue.
Ça vaut bien pas mal de titre de bouquins sur le développement personnel et la plénitude de l’âme (rien que l’association de la psychologie et d’une notion emplie de Croyance m’amuse !).
Dites-moi monsieur et madame tout le monde (ne me dites pas que je ne suis lu que par l’élite, je ne vous crois pas !), vous imaginez qu’un gugusse avec un diplôme en comportementalisme peut plus pour vous en un seul bouquin que vous-même ?
Rassurez-moi, vous vous connaissez mieux que lui, non ? C’est ce que je pensais.
Dussé-je me mettre les psychologues, psychiatres et autres psychanalystes à dos que je vous donnerais le fond de ma pensée (qui n’est peut-être pas très loin de la surface mais j’assume) : Aucune analyse extérieure ne vaudra celle que l’on peut faire de soi-même pour peu qu’on se penche un brin sur son propre cas !
Et je ne parle pas que de ceux qui se sentent mal, tous nous devons nous pencher sur nous-même, analyser nos craintes et nos blocages, ne serait-ce que pour évoluer, ce qui me semble être la nature de l’homme. Sinon, à quoi sert une conscience si ce n’est à évoluer, apprendre de ce qu’on a vu, utiliser son expérience des choses ?
Certes, évoluer. En bien ou en mal, vers le haut, le bas, évoluer vers plus de sagesse ou de pouvoir ou plus de relations, améliorer ses qualités, aggraver ses défauts, mais tout ça pour quoi ?
Pour se sentir mieux ? Pourquoi pas. Mieux que maintenant, mieux qu’hier, ou alors mieux que le voisin ou que le collègue d’à côté.
...